The Tunguska Mystery

Avant-propos
Vladimir Rubtsov est un ami de 25 ans. Nous nous sommes rencontrés, après de multiples échanges de correspondance, au Premier Congrès Européen sur les Phénomènes Aériens Anormaux organisé à Bruxelles par la Sobeps en novembre 1988. Depuis, nous sommes en contact régulier par courriels. C’est ainsi qu’il m’avait appris son projet d’écriture, me demandant incidemment si je pouvais explorer les possibilités d’édition en Belgique. Ce fut New York mais j’ai apprécié le clin d’oeil, me trouvant cité dans les remerciements de son ouvrage. La Tunguska ? Diable ! La Sobeps et Kadath ne m’étant pas étrangers, j’avais lu, de-ci de-là, des articles « de l’ouest » à ce sujet. Sans pour autant creuser plus loin. La parution de ce livre est l’occasion de rafraîchir la mémoire et de proposer non pas une critique pure et dure1 mais plutôt un compte rendu de lecture, tel que je le ressens. Pour ce qui est des aspects scientifiques, je suis totalement incompétent à les discuter, je sais mettre sous tension un scintillomètre à protons mais, tout comme une large majorité, n’arrive pas à l’initialiser.

The Tunguska Mystery
Débarrassé de son carton postal, le livre de 318 pages est d’abord feuilleté par sa fin : il y a un index de 8 pages. Il offre aussi 29 photographies dont certaines en quadrichromie, 7 cartes et 13 graphiques. Les différents chapitres se concluent par des notes et références. Au total, il y en a 249. Ce qui corse l’affaire est que près de 170 sont de source russe, c’est-à-dire publiées en cyrillique... Le Dr. Rubtsov, discutant fermement les thèses des Drs. Boslough et Crawford des Sandia National Laboratories aux États-Unis, met le doigt sur une évidence qui échappe souvent : la méconnaissance des sources russes dues à l’incompréhension de la langue. Qu’il soit bien clair, ce livre rédigé en anglais est issu de la plume d’un Ukrainien dans l’esprit d’un scientifique Russe. Quoi de plus normal, l’explosion de la Tunguska a eu lieu à l’époque de la Grande Russie du Tsar Nicolas II. Il ne faut pas s’étonner que cette étude diffère de la production « occidentale ».
Autre détail d’importance, le Dr. Rubtsov a certes lancé son projet en vue du centième anniversaire de la catastrophe mais, chose que j’ignorais, il a débuté ses recherches en compagnie d’une brochette de scientifiques dans les années soixante.

L’affaire de la Tunguska est fascinante en tant que tel. Que dire alors des premières expéditions dans la Taïga ? Un territoire similaire en superficie à la France, 700.000 km2, constitué de collines forestières entrecoupées de lacs, marais et rivières. Pas une route macadamisée, quelques lignes de chemin de fer et grosso modo 20.000 habitants, allez savoir. Le tout parfaitement inhospitalier pour le citadin et peuplé d’insectes gros comme des hélicoptères Hind-22. Le Dr. Rubtsov brosse à large palette le paysage. Les anecdotes s’imbriquent dans l’aventure des hommes qui se sont enfoncés en ces lieux inhospitaliers. Dès la présentation du « théâtre d’opération », la relation des hypothèses démarre. Dont cette constatation du professeur Igor Astapovich, d’avant la Seconde Guerre mondiale : « Si la météorite de la Tunguska était tombée 4 heures et 48 minutes plus tard, alors Saint-Pétersbourg aurait été anéantie. » Nous revenons sur cet aspect plus tard. Ainsi, des scientifiques se calent le sac à dos, emmènent des chevaux et se dirigent vers la zone d’impact et publient les fameuses photos des arbres abattus que le lecteur lambda a déjà pu apercevoir ici et là. Toutefois, elles ne montrent au mieux que quelques centaines de mètres carrés, or ce paysage hallucinant se répète sur des centaines de kilomètres carrés !

La taïga de la Tunguska se situe en Sibérie et au-dessus de la Mongolie. Les villes les plus proches sont Krasnoïarsk, Irkoutsk et quelques établissements perdus dans la forêt et de petits villages dont l’un, Vanavara, servira de camp de base aux multiples expéditions. La zone du phénomène est cernée par une multitude de rivières, la Tunguska Pierreuse, la Khushmo et l’Angara étant les plus importantes. Le paysage quant à lui offre un mélange de collines et de reliefs bas montagneux, couverts essentiellement de mélèzes, de pins et de broussailles, qui s’entrouvrent sur des lacs, des marais et tourbières. La faune est sibérienne comprenant ours, rennes et une myriade d’insectes voraces. L’autochtone est représenté par les peuplades Tungus, aussi appelés Evenks, de souche mongole.

Le mystère de la Tunguska débute le 27 juin 1908, soit trois jours avant la date du cataclysme. Une bande large d’un millier de kilomètres, d’est en ouest, partant de la taïga pour aboutir à l’Irlande, offre l’observation d’anomalies lumineuses ; elles perdurent jusqu’au 2 juillet. Soit avant et après l’explosion. Celle-ci qui est au centre des débats, a lieu le 30 juin 1908 vers 7 heures du matin, heure locale, et, grâce aux enregistrements sismographiques recueillis par l’observatoire d’Irkoutsk, le Dr. Arkady Voznezensky2 situe la chute d’un corps à 60 ° 16' N par 103 ° 06' E à 0 h 17 min 11 s GMT. Une précision déjà remarquable. Si l’événement est répercuté par la presse, son intérêt demeure timide dans les sphères scientifiques, mis à part quelques-unes. L’oubli relatif l’emporte et se pointent à l’horizon la Première Guerre mondiale et la révolution bolchevique. Après ces deux tragédies, la Russie ou l’URSS3, pays saigné à blanc, a d’autres préoccupations et il faut attendre 1925 pour que le mystère de la Tunguska revienne au premier plan.

Cela grâce à un homme d’une ténacité, - d’une folie ! -, incroyable : le Dr. Leonid Kulik, un minéralogiste4. C’est à lui que revient l’honneur d’être le découvreur de l’énormité des dégâts dus à, semble-t-il, l’impact d’un corps céleste sur cette région de la Tunguska. Une première expédition prend la route fin 1921, elle n’atteint pas la zone. La seconde se trouve le 25 mars 1927 au village de Vanarava. Kulik et son guide pénètrent cinq jours plus tard dans un espace où, écrit-il dans son journal, « tous les grands arbres sur la montagne étaient allongés en rangs serrés... les sommets des arbres tombés étaient dirigés vers nous ». Le pays de la forêt morte et le mystère de Tunguska sont lancés : 2.150 km2 ravagés ! Au centre de la forêt couchée, Kulik découvre une vaste zone de 8 km de large dans laquelle les troncs démunis de branches sont plantés tels des poteaux télégraphiques. Il se rend aussi compte que les arbres, morts ou vivants, portent d’étranges traces de brûlures et que le centre de l’explosion ou de l’impact se situe dans un creux du terrain, qui sera dorénavant nommée la Grande Dépression. D’autres expéditions ont lieu en 1928 et 1929, cette dernière dure vingt mois ! Le Dr. Rubtsov détaille avec précision ces explorations plus qu’aventureuses et difficiles pour les hommes qui les entreprennent. Il en va de même pour les premières hypothèses qui émergent : météores ou comètes ? Quel type d’explosion, à quelle altitude ? De quelle direction provient l’objet céleste, à quelle vitesse ? En fait les recherches de Kulik donnent tous les ingrédients des investigations et des disputes que vont se partager des générations de scientifiques.

Au début des années trente, les soviets imposent les collectivisations, l’industrialisation. L’étude de la Tunguska rétrograde et la Grande Terreur des années 1936-1938 pose fermement un couvercle sur les demandes de fonds. Seule opération positive grâce à la détermination farouche de Kulik, un hydravion procède à la prise de 1.500 photos verticales au format de 18 x 18 cm. Ces négatifs sont détruits en... 1975 sur ordre d’un scientifique ! Heureusement, les impressions ont été sauvées par Nikolay Vasilyev, directeur de l’Independent Tunguska Exploration Group - ITEG. En 1939, la Seconde Guerre mondiale est déclarée, le 22 juin 1941, Hitler attaque l’URRS. L’après-guerre pour l’Union Soviétique est terrible : il faut reconstruire l’économie et développer de nouvelles armes. Pour ce faire, les décombres de l’Allemagne nazie demeurent riches en matériel et technologies de pointe. Le Colonel Alexander Kazantsev est un de ces officiers chargé de la récupération stratégique. Il est aussi auteur de science-fiction. Le Dr. Rubtsov l’a rencontré en 1969. Kazantsev se rappelait les explorations de Kulik, de même il était parfaitement informé des développements en armes atomiques. Il décide de s’informer plus à fond sur ce sujet, étant alors retiré de l’armée, il s’en retourne à ses écrits et publie une courte nouvelle intitulée « L’explosion » dans le journal de géographie Volkrug Sveta5, début 1946. Cette histoire mêle des éléments probants de la Tunguska, insistant sur la possibilité d’une explosion atomique d’une météorite, sans toutefois mettre en exergue l’éventualité d’un vaisseau spatial alien. L’affaire se corse en 1948 quand différends journaux critiquent Kazantsev pour finalement se trouver publiée dans le magazine Teknika-Molodyozhi6, qui est la source pour beaucoup d’Occidentaux. L’incidence de la nouvelle de l’ancien Colonel sera énorme, tant au niveau du grand public que chez les scientifiques partisans de telles ou telles hypothèses. Et cela continue... Rappelons qu’à l’Ouest, la belle époque des collections dites borderline en ont fait leurs choux gras. Kazantsev est aussi en conflit avec un organisme d’état, l’Academic Committee on Meterorites - KMET, qui soutient bien entendu la théorie météoritique, ayant déjà participé aux expéditions précédentes. Ces empoignades se lisent comme un roman policier car, en plus, on étudie la cargaison d’échantillons récupérés par Kulik. Et on se fixe des objectifs pour de futures expéditions : trouver un cratère, des substances météoriques, explorer la forêt tombée et l’évaluation d’investigations connexes. L’entreprise prendra des années ! Le cinquantième anniversaire est célébré sur place, le KMET aux commandes. Il ne trouve pas de cratère. Par contre des indices curieux apparaissent : les brûlures anormales des troncs ne sont pas constantes, la régénération de la végétation semble accélérée, on ne trouve pas de traces tangibles de la météorite. De même, on s’interroge sur l’explosion proprement dite, sa puissance, son énergie, son altitude, sa trajectoire balistique. Est-elle chimique ou atomique ? A-t-elle émit une onde de choc accompagnée ou non d’un rayonnement d’énergie comparable à une explosion nucléaire ?

Fin juin 1959, le Dr. Gennady Plekhanov conduit une nouvelle expédition à partir de Vanavara. Elle y travaille pendant 38 jours à relever les niveaux de radioactivité, à examiner les arbres tombés et les effets du feu de forêt. Des échantillons de bois et de tourbe sont prélevés. Les résultats ne sont pas franchement encourageants. Une seconde tentative, ITEG-2, la plus longue de l’histoire de la Tunguska se passe en 1960. Cette fois, elle comporte des chercheurs professionnels. Peine perdue, il faut muscler les interventions sur le terrain, ITEG et le KMET vont collaborer en 1961. Près de 150 échantillons pesant chaque 20 kg sont transportés à dos d’homme. Un rapport est publié par le Dr. Kirrill Florensky dans le magazine Meteoritika du KMET... en 1963 ! Pour les uns, l’explosion est due à une météorique, pour les autres aucune solution n’a été trouvée. Les deux organisations se séparent. En 1963, le professeur Nikolay Vasilyev prend les commandes de l’ITEG. Le Dr. Rubtsov l’a très bien connu pendant les années 90. Vasilyev est accompagné d’une autre figure importante, le Dr. Alexey Zolotov qui est intéressé par l’idée de Kazantsev, ce qui le mène à se colleter avec les adeptes du météore. Zolotov organisera douze expéditions dans la Grande Dépression. Si la collection de données est très importante, le constat ramène à l’éternelle dispute avec les tenants de l’hypothèse météoritique. Pourtant, l’ITEG et Zolotov considère maintenant que toutes les possibilités doivent être examinées. Les faits sont amenés à supplanter la théorie.

Interlude
Ainsi, quelque cinquante années se sont écoulées depuis l’explosion, entrecoupées de tragédies. Les années soixante vont être quant à elles révélatrices du renforcement de l’énigme, au-delà de ce qu’aurait pu imaginer Kulik. Il va s’en dire que les investigations se poursuivent encore de nos jours. Elles sont décrites et commentées par le Dr. Rubtsov, avec à la fois enthousiasme et grincements de dents. Preuve que les temps ont changé, certaines réflexions de l’auteur auraient, dans une époque peu lointaine, pu le conduire à une excursion dans la taïga, afin de redresser les arbres couchés. Sans déflorer le contenu du livre, voici quelques éléments étonnants qui justifient amplement l’intérêt du mystère de la Tunguska.

La plus incroyable action sur le terrain a été de déterminer la superficie de la forêt abattue par l’explosion : elle couvre grossièrement entre plus de 2.000 km2. Il était envisageable pour les tenants de la solution météorique que l’impact aurait imprimé sur le sol une zone de forme ovale. Ce n’est pas le cas, le périmètre dessine une forme ressemblant aux ailes d’un papillon où se mêlent arbres abattus ou partiellement fauchés. L’observation attentive de la taïga et de ces futaies - qui resteront à jamais l’image la plus bizarre de l’affaire - indique déjà en 1960 qu’il y a des présomptions pour deux axes de chute. L’un axé d’est vers l’ouest, l’autre du sud-est vers le nord-ouest. Le bolide se serait-il brisé en haute altitude, deux composants ricochant sur l’atmosphère terrestre pour se voir déviés en approche de la Tunguska ? Évidemment l’idée s’avère envisageable. Les recherches se poursuivent et une nouvelle zone en forme de 'papillon' de 500 km2 où les arbres sont intégralement abattus s’inscrit dans le 'papillon' primaire, et un épicentre de la 'chute' se précise.

Un seul problème, majeur, trouve-t-on des éléments du susdit météore ? La réponse est simplissime : aucun ! Assez péremptoire parce que les investigations vont se diversifier. Le Dr. Rubtsov raconte avec moultes détails les expéditions successives qui courent sur des décennies, avec les idées des uns qui s’entrechoquent à celles des autres. Cela en devient quasiment énervant. Car le lecteur sent qu’on approche de la solution. Hélas, à chaque fois, à chaque avancée le mystère s’épaissit. Et le temps passe ! La végétation a repris son souffle, mais à un rythme au-delà de la norme acceptée. Vérification faite sur les arbres. L’épicentre ? Il change de place. La Grande Dépression ? Parlons-en, elle provoque des dépressions... psychologiques, le trait est exagéré mais est proche de la réalité. Suit la collecte des témoignages, du grand-père survivant à son petit-fils : l’explosion devient légende sociale. Pas seulement dans la Tunguska, ces sacrées trajectoires amènent les chercheurs à s’écarter... de 1.000 km des lieux ! Il faut trouver une solution. Le matériel scientifique 'up-to-date' suit. Le paléomagnétisme est anormal. Sondons le sol, les échantillons présentent des traces d’ytterbium, un métal du groupe des terres rares. Le Dr. Rubtsov : « Appelons une bêche une bêche (ou, en Russe, un chat un chat7, nous pouvons conclure que les éléments typiquement météoritiques comme le fer, le nickel, le cobalt, n’ont rien à voir avec la Tunguska ». Justement, parlons-en, de ces éléments incongrus trouvés dans la zone 'papillon' : il y en a douze dont du baryum, du titane, du tantale et de l’or... Serait-ce les traces des composants constituant le « Tunguska Space Body - TSB » ? Évoquons encore l’enregistrement des témoignages proches de l’épicentre, - 'proche' a-t-il une signification dans la taïga ? -, qui indiquent deux trajectoires non rectilignes mais bien courbées. Sans négliger les discussions et disputes portant sur l’angle de descente du TSB et la puissance de l’explosion. Bref, il y a encore quelque temps, la masse d’informations relevait du chaos scientifique. Le Dr. Rubtsov s’en explique dans l’avant-dernier chapitre de son livre, titré « La théorie est morte : longue vie à un nouveau modèle ». Une synthèse des investigations teintée d’une pointe d’amertume qui ouvre la dernière partie du livre.

Le matin du 30 juin 2008, deux hélicoptères Mil Mi-8 survolent la Grande Dépression. À bord de l’un d’eux, le Dr. Rubtsov prend des photos de la taïga par la porte coulissante ouverte. La météo est excellente, il fait déjà 30 ° C. Vanavara, maintenant petite ville, accueille les participants du 100e anniversaire de l’énigmatique explosion qui a secoué la taïga. Avec son cortège de conférences et autres symposiums... et la télévision russe qui annonce qu’un cratère d’un km de large ne se trouve pas loin. Le lecteur pensera en entamant cet ultime chapitre qu’il s’agit du reportage de l’événement. À la fois vrai et faux. Certes, le Dr. Rubtsov brosse le tableau des festivités, avec cette photo du mémorial assez 'kitsch' situé dans une clairière. La suite de son propos est nettement plus intéressante. Je vous la laisse découvrir en empoignant le livre. By the way, si le TSB était tombé sur Bruxelles, la ville aurait été rasée... tout comme Saint-Pétersbourg !

Sans entrer en religion avec l’hypothèse de Kazantsev, l’objet volant toujours non identifié de la Tunguska, s’avère plus que curieux : deux « bolides » passent sur la taïga, décrivant des trajectoires autonomes qui s’incurvent ! L’un explose, l’autre disparaît. Voyons voir... Peut-être que le Dr. Rubtsov a raison dans son application de la recherche empirique, vu l’ampleur des incongruités de l’affaire. Celle-ci permet justement de se débarrasser ou de contourner les théories trop contraignantes car issues de dogmes scientifiques. L’empirisme bien contrôlé autorise l’exploitation des faits et de leurs retombées directes ou indirectes. Certes, sa pratique nécessite du courage et du flair. Certains expliqueront que c’est simplement du pragmatisme appliqué prudemment.
Comme disent les anglo-saxons : Highly Recommended.

Robert Dehon
(ancien collaborateur de la SOBEPS et de KADATH)

Notes

  1. « The Tunguska Mystery », Vladimir Rubtsov, Springer, New York 2009 ; ISBN 978-0-387-76573-0.
  2. Le Dr. Rubtsov dirige le site Internet du RIAP - Research Institute on Anomalous Phenomena, actuellement en voie de reconstruction ; une version française raccourcie se trouve à l’adresse suivante : www.ldi5.com/ovni/riap.php
  3. Aux dernières nouvelles, une traduction en langue russe est à l’étude ; les éditeurs francophones attendront-ils que le ciel leur tombe sur la tête ?
  4. Les illustrations proviennent du livre du Dr. Rubtsov édité par Springer.

Pour en savoir davantage, nous vous invitons à consulter le site Dr. Vladimir Rubtsov : www.TunguskaMystery.info


  1. Certaines ont déjà été proposées sur Internet, trop rapides et mal réfléchies, elles ont été démontées par l’auteur.
  2. Les noms mentionnés ne le sont qu’à titre exemplatif, le Dr. Rubtsov donne de nombreux détails au sujet des personnages impliqués dans cette affaire. J’ai respecté son orthographe des patronymes.
  3. L’URSS n’est créée qu’en 1922.
  4. Kulik, prisonnier des nazis en 1942, meurt dans un camp de détention.
  5. Autour du Monde
  6. Ingénierie pour les jeunes
  7. « Calling a spade a spade (or, in Russian, calling a cat a cat)... » l’expression est identique en français, le Dr. Rubtsov, si vous lisez entre les lignes, affectionne un humour 'upper lip' qui me convient bien.

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